Hugo D., 16 ans, élève en filière STD2A a trouvé sa voie grâce à l’école Au Fil de la Mode il y a un an. Il nous expose comment.
Portraits d'élèves
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Hugo : En mode passion

Bonjour Hugo, pourrais-tu te présenter.
Comment as-tu connu l’école Au Fil de la Mode ?
Bonjour, je m’appelle Hugo, j’ai 16 ans. J’ai connu l’école, alors que j’étais en fin de troisième, il y a un peu plus d’un an, via Facebook. Son approche Haute Couture et la préparation aux concours d’entrée aux Grandes Écoles qu’elle dispensait m’ont tout de suite interpelé.
Je pensais déjà à me préparer pour intégrer les Grandes Écoles de mode mais j’avais également un objectif à court terme car je venais de découvrir une filière artistique :
la seconde CCD (Création Culture Design) permettant d’intégrer plus aisément les deux années menant au baccalauréat STD2A.
Je pensais déjà à me préparer pour intégrer les Grandes Écoles de mode mais j’avais également un objectif à court terme car je venais de découvrir une filière artistique :
la seconde CCD (Création Culture Design) permettant d’intégrer plus aisément les deux années menant au baccalauréat STD2A.
Pourrais-tu nous faire part de ton expérience au sein de l’école ?
J’ai rencontré Corinne lors des portes ouvertes et là ce fut un véritable coup de cœur pour sa personnalité et son environnement. J’avais déjà réalisé un stage dans la maison de couture
« On aura tout vu » (spécialisée dans les costumes de scène) mais de me dire que là, avec cette personne et les moyens de l’école, j’allais pouvoir réaliser ce que j’avais vu pendant ma semaine de stage, je me suis dit : en fait c’est possible, je peux le faire !
J’ai commencé un stage d’une journée en avril. Il s’est extrêmement bien passé, c’était incroyable. Je me suis senti en confiance et ce à un moment difficile de ma vie. Que quelqu’un croit en moi et mon potentiel, j’étais sur un nuage ! J’ai décidé de m’inscrire pour un stage d’une semaine. A l’issue de celui-ci, nous avions réalisé un bustier douze pièces.
Grâce à ce bustier dont j’ai présenté les croquis, le patron et le début de la toile (réalisés en stage avec Corinne en avril) avec mon dossier en mai 2019, je suis entré dans la filière dont je rêvais, une seconde CCD (Création Culture Design), cette voie royale pour le bac STD2A.
En rentrant chez moi je me suis dit : « il y a 4 mois, tu ne savais pas coudre, tu venais d’avoir ta première machine (décembre 2018 !) et tu allais demander la filière STD2A » J’aimais déjà la mode quand j’étais petit, je dessinais des robes mais je n’avais jamais cousu. Ma grand-mère possédait un magasin de tissu et était une très bonne couturière.
Corinne ne fixe pas de barrières à notre créativité. Je pensais être trop jeune, elle m’a rassuré et encouragé. Elle a cru en moi tout de suite. La passion et le travail mènent à tout. J’ai débuté les cours, à raison d’un samedi par mois, en septembre 2019. A l’issue de celui-ci, nous avons réalisé notre premier défilé, un rêve devenu réalité.
« On aura tout vu » (spécialisée dans les costumes de scène) mais de me dire que là, avec cette personne et les moyens de l’école, j’allais pouvoir réaliser ce que j’avais vu pendant ma semaine de stage, je me suis dit : en fait c’est possible, je peux le faire !
J’ai commencé un stage d’une journée en avril. Il s’est extrêmement bien passé, c’était incroyable. Je me suis senti en confiance et ce à un moment difficile de ma vie. Que quelqu’un croit en moi et mon potentiel, j’étais sur un nuage ! J’ai décidé de m’inscrire pour un stage d’une semaine. A l’issue de celui-ci, nous avions réalisé un bustier douze pièces.
Grâce à ce bustier dont j’ai présenté les croquis, le patron et le début de la toile (réalisés en stage avec Corinne en avril) avec mon dossier en mai 2019, je suis entré dans la filière dont je rêvais, une seconde CCD (Création Culture Design), cette voie royale pour le bac STD2A.
En rentrant chez moi je me suis dit : « il y a 4 mois, tu ne savais pas coudre, tu venais d’avoir ta première machine (décembre 2018 !) et tu allais demander la filière STD2A » J’aimais déjà la mode quand j’étais petit, je dessinais des robes mais je n’avais jamais cousu. Ma grand-mère possédait un magasin de tissu et était une très bonne couturière.
Corinne ne fixe pas de barrières à notre créativité. Je pensais être trop jeune, elle m’a rassuré et encouragé. Elle a cru en moi tout de suite. La passion et le travail mènent à tout. J’ai débuté les cours, à raison d’un samedi par mois, en septembre 2019. A l’issue de celui-ci, nous avons réalisé notre premier défilé, un rêve devenu réalité.




Peux-tu nous expliquer en quoi consistent les épreuves d’entrée aux Grandes Écoles de mode ?
J’ai appris que dans la filière STD2A, il y avait une section Arts appliqués traitant le design mode, l’architecture. L’école Au Fil de la Mode m’est apparue parfaite pour compléter cette formation qui me mènerait ensuite aux Grandes Écoles.
Mes professeurs d’Arts appliqués ne sont pas des spécialistes en mode (leur domaine est plutôt le dessin, la culture mode…) elles trouvent donc fantastique que je puisse bénéficier de toute cette partie à l’école de mode de Corinne et me lancer dans un projet professionnel en approfondissant mes cours. Elles ont été très impressionnées à la rentrée lorsque je leur ai présenté mon bustier à strass fini et que je leur ai raconté que j’avais participé à deux défilés organisés par l’école Au Fil de la Mode, dont un au Manège Royal de Saint Germain-en-Laye, devant 400 personnes.
Cette formation préparatoire parallèle est un signe fort pour nos professeurs de notre engagement et de notre passion.
Mes professeurs d’Arts appliqués ne sont pas des spécialistes en mode (leur domaine est plutôt le dessin, la culture mode…) elles trouvent donc fantastique que je puisse bénéficier de toute cette partie à l’école de mode de Corinne et me lancer dans un projet professionnel en approfondissant mes cours. Elles ont été très impressionnées à la rentrée lorsque je leur ai présenté mon bustier à strass fini et que je leur ai raconté que j’avais participé à deux défilés organisés par l’école Au Fil de la Mode, dont un au Manège Royal de Saint Germain-en-Laye, devant 400 personnes.
Cette formation préparatoire parallèle est un signe fort pour nos professeurs de notre engagement et de notre passion.
Je ne pensais pas qu’une telle école pouvait exister. C’est fou comme tout s’est enchainé et entrecroisé. J’ai eu ma machine, mon stage et des bases, j’ai trouvé ma section préparatoire lycée et j’ai commencé mes cours avec Corinne.
Iann, un autre élève rentré cette année à l’IFM (Institut Français de la Mode) et moi avons réalisé de beaux challenges l’année dernière.
En moins d’un an je me rends compte du chemin parcouru. J’ai tellement progressé en seconde CCD, j’entre cette année en section STD2A. J’ai beaucoup appris en cours de couture avec Corinne, les deux formations se complètent si bien... Cette année je vais me lancer dans la confection d’une veste Bar (Dior) que je vais revisiter, alors qu’en janvier 2019 je ne savais pas changer la canette de ma machine à coudre, c’est incroyable !
Psychologiquement cette école m’a aidé à me dire « je peux le faire, tout le monde peut le faire ». D’un point de vue technique également, confectionner une robe n’est pas réservé à Christian Dior ! Lorsque j’ai rencontré une autre élève de Corinne, Tess, j’ai aussi été rassuré car je n’étais pas le seul jeune original à me lancer dans des projets fous.
Nos principes en STD2A sont : rigueur, porosité et transversalité. Des principes qui sont également très présents dans notre école Au Fil de la Mode. Je vais avoir un temps d’avance pour les grandes écoles car j’aurais déjà beaucoup appris.
Iann, un autre élève rentré cette année à l’IFM (Institut Français de la Mode) et moi avons réalisé de beaux challenges l’année dernière.
En moins d’un an je me rends compte du chemin parcouru. J’ai tellement progressé en seconde CCD, j’entre cette année en section STD2A. J’ai beaucoup appris en cours de couture avec Corinne, les deux formations se complètent si bien... Cette année je vais me lancer dans la confection d’une veste Bar (Dior) que je vais revisiter, alors qu’en janvier 2019 je ne savais pas changer la canette de ma machine à coudre, c’est incroyable !
Psychologiquement cette école m’a aidé à me dire « je peux le faire, tout le monde peut le faire ». D’un point de vue technique également, confectionner une robe n’est pas réservé à Christian Dior ! Lorsque j’ai rencontré une autre élève de Corinne, Tess, j’ai aussi été rassuré car je n’étais pas le seul jeune original à me lancer dans des projets fous.
Nos principes en STD2A sont : rigueur, porosité et transversalité. Des principes qui sont également très présents dans notre école Au Fil de la Mode. Je vais avoir un temps d’avance pour les grandes écoles car j’aurais déjà beaucoup appris.
Quelles Grandes Ecoles vises-tu ?
Les écoles qui m’intéressent particulièrement sont l’IFM (Institut Français de la Mode) et ESMOD (École supérieure des Arts et Techniques de la Mode) pour la France, Central Saint Martins en Angleterre et en Italie, la Chambre Syndicale de la Haute Couture italienne car le côté extravagant de la mode italienne m’attire beaucoup !
Des conseils à donner à d’autres jeunes qui vont intégrer
l’école Au Fil de la Mode ?
Corinne s’est donnée pour mission la transmission de son savoir, ainsi grâce à celui-ci nous pouvons réaliser nos projets de couture quels qu’ils soient. Il nous incombe de nous donner les moyens d’y parvenir. Avec Corinne on peut tout tenter, il est possible de laisser libre court à se créativité ! On progresse au fil des semaines mais le grand plus c’est d’avancer accompagné.
J’ai moins peur d’oser. Il n’existe pas deux Corinne ni deux écoles comme la sienne ! Son point de vue professionnel et mature est un atout précieux pour ce qui nous attend dans le milieu de la mode.
J’ai moins peur d’oser. Il n’existe pas deux Corinne ni deux écoles comme la sienne ! Son point de vue professionnel et mature est un atout précieux pour ce qui nous attend dans le milieu de la mode.

Que souhaites-tu exprimer en conclusion de nos échanges ?
Ma rencontre avec Corinne et son école Au Fil de la Mode est La rencontre d’une vie et je mesure déjà le chemin parcouru depuis cette rencontre déterminante pour moi. Un nouveau cycle a débuté dans ma vie et ce dernier va durer toute ma vie. Je sais que quoi qu’il advienne je resterai en contact avec elle qui m’a tout appris.
Grâce à elle je ferai un métier où je vivrai ma passion. Je sais qu’elle me suivra toute ma vie, que je travaille chez un grand nom de la Mode ou chez un petit couturier,
je serai heureux !
Grâce à elle je ferai un métier où je vivrai ma passion. Je sais qu’elle me suivra toute ma vie, que je travaille chez un grand nom de la Mode ou chez un petit couturier,
je serai heureux !
Propos recueillis par Barbara Charpentier.